Ensuite il égorgea son sacrifice, puis rasa sa tête et parfuma Aicha.
×Après cela il s’est rendu à la Kahba pour faire tawaf puis les gens lui posèrent de multiples questions sur le jour du sacrifice, celui qui a sacrifié avant de jeter ou celui qui a rasé sa tête avant de sacrifier ou qui est allé au Kahba avant de lapider le grand Jamarat et il répondit : ‘’Pas de problème’’ Et celui qui a rapporté le hadith dit ce jour la quand on lui posait une question sur avoir avancé ou reculé une des actions citées il répondait ‘’Faites, pas de problème’’. Cela nous enseigne que la Sounnah pour les pèlerins c’est de commencer par lapider le grand Jamarat le jour de Eid ensuite il fait son sacrifice si cela lui est prescrit et puis il se rase la tête ou il raccourcit ses cheveux mais de se raser est mieux que de raccourcir, le Prophète (Paix et bénédictions sur lui) a invoqué trois fois la Miséricorde et le Pardon d’Allah pour ceux qui se rasent la tête. Et une seule fois pour ceux qui ont seulement raccourci leurs cheveux.
× Après cela le pèlerin arrive à la première désacralisation ; il s’habille de vêtements cousus se parfume et il lui est permit tout ce qui lui était interdit avant le ihram sauf le rapport avec les femmes. Ensuite le pèlerin se rend au Kahba et fait le tawaf le jour de Eid ou après.et fait le sa’ee entre Safa et Marwa s’il fait Tamatu après cela il lui est
permit tout ce qui lui était interdit pendant le ihram même les rapports avec ses femmes. Quant à ceux qui font soit le hajj mufrid ou le hajj quiran le premier sa’ee fait auparavant avec le tawaf el qudum est suffisant. Le pèlerin qui n’a pas fait le sa’ee avec le tawaf el qudum doit le faire avec tawaf el ihfada..
× Ensuite le Prophète (Paix et bénédictions sur lui) est retourné à Mina pour y passer le reste du jour de Eid et le onze le douze et le treize de dhul hijja , il lapida les jamarats chaque jour de Tashrik après le zénith du soleil. Il jeta (Paix et bénédictions sur lui) sept cailloux sur chaque jamarat en faisant le takbir à chaque jet de pierre puis en s’éloignant un peu du premier et du deuxième jamarat, il invoqua Allah en levant les mains, faisant face au Quibla. En s’éloignant du premier et deuxième jamarat il pressait le pas , s’arrêtait la ou il faisait les duas mais ne s’arrêtait pas pour faire les duas au troisième jamarat.
×Puis le Prophète(Paix et bénédictions sur lui) le treize de dhul Hijja après avoir lapidé les trois jamarat s’est rendu à el Abto (lieu entre Mina et Makka) et y pria le dhor le asr le magrheb et le isha
×Puis il s’est rendu à Makka vers la fin de la nuit accomplit le tawaf el wada et guida la prière du fajr avec les croyants. Ensuite le même jours (le quatorze) après la prière il entreprit son voyage pour Madina ,qui dura sept jours , que Allah lui accorde Ses meilleures Salutations et Bénédictions. Nous apprenons par cela que la Sounnah du Hajj c’est de faire comme à fait le Prophète (Paix et bénédictions sur lui) les jours de Mina qui est de lapider les jamarats pendant les trois jours après le zénith. Il faut lapider chaque jamarat avec sept cailloux de la taille d’un poids chiche en les lançant un par un et en faisant le takbir à chaque jet de pierre. Au premier et au deuxième jamarat après avoir jetter les cailloux il faut se diriger vers le prochain jamarat à pas rapides en empruntant le coté droit des jamarats,(ceci est mieux mais n’est pas obligatoire) mais après quelques mètres il faut s’arrêter en faisant face au Quibla et invoquer Allah(Gloire à Lui) les
paumes des mains levées vers le ciel Au troisième jamarat après avoir jeté les cailloux il faut partir sans faire des invocations comme précédemment. En contrepartie ceux et celles qui ont des difficultés pour lancer les cailloux après le zénith et avant le couché du soleil il leur est permis de le faire après le magrehb et avant la fin de la nuit ceci est la parole la plus juste rapporté des Oulémas comme une miséricorde et une facilitation d’Allah (Gloire à Lui)
Ceux qui doivent partir le douze et sont pressés peuvent le faire après avoir lapidé les jamarats Quant à ceux qui veulent rester jusqu’au treize à Mina et lapider les jamarats cela est mieux et plus juste vu les paroles du Prophète (Paix et bénédictions sur lui) qui a dit que la Sounnah du Hajj est de rester à Mina la nuit du onze et du douze et cette étape du Hajj est wajib d’après les savants et le pèlerin doit s’efforcé de toutes les faire si cela lui est possible. Pour ceux et celles qui ont des empêchements légaux tel que les pèlerins qui font les services, les bergers et ceux qui sont comme eux.
La nuit du treize il n’est pas wajib de passer la nuit à Mina pour celui qui est pressé et qui voyage de Mina avant le Magrehb . Pour ceux qui peuvent rester la nuit du treize à Mina qu’ils y passent la nuit, qu’ils lapident les jamarats après le zénith du soleil puis quittent Mina. Ceux qui ont la possibilité de rester à Mina qu’ils y passent la nuit du douze et après le zénith du soleil ce jour là qu’ils lapident les jamarats ensuite qu’ils s’en aillent. Que personne ne lapide les jamarats après le treize, même s’il se trouve à Mina.
× Et quand le pèlerin veut rentrer chez lui il doit faire le tawaf el wada, sept tours du Khaba d’après ce que nous a dit le Prophète (Paix et bénédictions sur lui) : « Qu’aucun d’entre vous ne voyage avant que la dernière chose qu’il fasse soit l’adieu de la Maison sacrée » Sauf les femmes en menstruations ou en état de post–maternité comme l’a rapporté d’une manière certaine Ibn Abbas. (Les gens ont été ordonné que l’adieu à la Maison sacrée soit la dernière chose qu’ils faussent sauf pour les femmes en menstruations). Pour ceux qui n’ont pas à ce point encore fait tawaf el ifhada ils le font avant de partir comme il est rappelé dans les deux hadith précédents que le tawaf soit la dernière chose faite avant de quitter Makka.
Nous supplions Allah (Gloire à Lui) qu’Il nous accorde à tous de faire les actions qui Le rende satisfait et qu’Il accepte nos bonnes œuvres et nous compte parmi les pieux et nous protège de l’enfer , c’est à Lui que cela appartient et c’est lui qui en a le pouvoir. Que les prières et les bénédictions d’Allah soient sur le Prophète sur sa famille et ses Compagnons.
Se renseigner sur le prétendant avant de se marier
Q : Comment je peux être sûre que l’homme qui s’est présenté pour me demander en mariage est attaché à appliquer la loi d’Allah en sa personne et dans ses agissements ? Puisqu’il y’en a beaucoup qui prétendent avoir cet attachement. R : Il incombe au tuteur de la femme de vérifier et de poser des questions sur la personne demandant en mariage sa pupille. S’il le satisfait dans sa religion et dans son comportement qu’il le marie, sinon non. Et les moyens de connaître le prétendant sont nombreux et variés. Parmi eux ; le questionnement de ses proches et de ses collègues de travail, et de regarder sa situation sans précipitation. Et c’est d'Allah que vient le succès, que la prière d’Allah soit sur notre prophète Mohamed, sa famille et ses compagnons ainsi que le salut. Fatwa du comité permanent : Membres : Bakr Abou Zaid, Abdallah ibn ghadayen et Salih El-Fawzen Vice-président : Abdel-Aziz Ali Cheikh Président : Abdelaziz ibn Abdallah Ben Baz Page 64, tome 18, fatwa numéro : 18 452 Tuer les insectes nuisibles.
Q : La personne écrit : « Les fourmis se sont répandues dans notre région de façon inouïe ; elles n’épargnent ni nourriture, ni vêtements. De plus, elles nuisent à nos propres personnes. Nous est-il donc permis de les tuer ? Si oui, par quels moyens ? Est-ce une épreuve ? Comment la repousser ? » R : Si la situation est telle que vous la décrivez, il vous est permis de tuer celles qui vous sont nuisibles par quelque moyen que ce soit, sauf par le feu. Sans aucun doute, cela est un fléau et une épreuve qui invite à en tirer une leçon et à se repentir à Allah. L'authentique de Mouslim
Livre 54 - Ascetisme et indigents 5261. D'après 'Amr Ibn 'Awf (رضي الله عنه), l'Envoyé d'Allâh (صلى الله عليه و سلم) chargea Abou 'Ubayda Ibn Al-Jarrâh d'aller chercher le tribut du Bahreïn. Après s'être réconcilié avec les habitants du Bahreïn, l'Envoyé d'Allâh (صلى الله عليه و سلم) leur avait donné pour chef Al-'Alâ' Ibn Al-Hadramî. Comme Abou 'Ubayda retourna avec l'argent du Bahreïn, la nouvelle de son arrivée (Abou 'Ubayda) se répandit parmi les 'Ansâr. Ceux-ci firent avec le Prophète (صلى الله عليه و سلم) la prière de fajr (l'aurore); une fois la prière achevée, le Prophète (صلى الله عليه و سلم) voulut s'en aller, mais les 'Ansâr l'abordèrent. Alors, souriant à leur vue, le Prophète (صلى الله عليه و سلم) dit: "Vous avez, j'imagine, entendu que Abou 'Ubayda avait apporté quelque chose du Bahreïn?". - "Oui, ô Envoyé d'Allâh", répondirent-ils. - "Réjouissez-vous donc, et espérez obtenir ce qui vous causera la joie. Par Allâh! Ce n'est pas la pauvreté que je redoute pour vous; je redoute plutôt que les biens de l'ici-bas ne vous soient largement offerts comme ils l'ont été à vos devanciers et qu Quelle jonction sur le fait que la foi ait six piliers et soixante-dix et quelques branches ?
Q : Comment joint-on entre le fait que la foi consiste « à croire en Allah, en ses anges, en ses livres, en ses prophètes, au jour dernier et au destin bon et mauvais » et la parole du prophète (que la prière et le salut d'Allah soient sur lui) : « La foi est soixante dix et quelques branches… » ? R: La foi que l'on définit comme un dogme est basée sur six piliers qui sont cités dans le hadith de Jibril (que la paix soit sur lui) qui est que la foi en Allah, en ses anges, en ses livres, en ses prophètes, au jour dernier et de croire au destin bon et mauvais. Alors que la foi qui regroupe les actions, ses différents types et sortes, celle-ci a soixante-dix et quelque branches, c'est pour cela qu'Allah le Très-Haut a nommé la foi dans sa parole : Les exégètes du Coran ont dit «votre foi» a le sens de «votre prière» vers la maison sacrée (baite el makdis) parce que les compagnons avaient été ordonné de se diriger vers la Kaaba quand ils priaient vers la mosquée du Kods (Jérusalem). La visite chez le médecin.
R : Il n’y a pas de mal à se rendre chez un médecin homme, à défaut de ne pouvoir se faire soigner par une femme. Les gens de science ont évoqué qu’il n’y avait pas de mal à cela. Le médecin est en droit d’examiner tout endroit qui le nécessite. La présence d’un mahram est de surcroît requise. Le médecin ne peut rester seule avec sa patiente étant donné que la religion l’interdise, mais parfois la nécessité fait loi ! Les savants –qu’Allah leurs fasse miséricorde – précisent que ce genre de situation devient tolérable car cette intimité n’est pas interdite par essence mais elle l’est en regard des conséquences. Or, la règle dit que toute interdiction de cet ordre n’a plus lieu d’être en cas de besoin. Fatwa du cheikh Otheimine Volume 12, page 288 fatwa 196
Se renseigner sur le prétendant avant de se marier
Tuer les insectes nuisibles
Livre 54 - Ascetisme et indigents
5260. D'après Anas Ibn Mâlik (رضي الله عنه), l'Envoyé d'Allâh (صلى الله عليه و سلم) a dit: "Trois choses accompagnent le cercueil de la personne morte: deux retournent et une seule reste avec lui. Ces trois choses sont sa famille, sa fortune et l'ensemble de ses œuvres; celles qui retournent sont: sa famille et sa fortune; et celle qui reste avec lui c'est: l'ensemble de ses œuvres". Quelle jonction sur le fait que la foi ait six piliers et soixante-dix et quelques branches ?
La visite chez le médecin
Q : La femme a parfois besoin de visiter le médecin qui lui demande de dévoiler certaines parties de son corps pour l’ausculter. Quel en est le statut au regard de la législation divine ?
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