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La Zakât des immeubles, locaux et terrains.

Q : Mon frère possède beaucoup d’argent qu’il a converti en immeubles, locaux commerciaux et terrains. Tout ceci lui assure des revenus. Je l’ai conseillé de donner la Zakât calculée sur son capital d’origine, mais il m’a dit que la Zakât à verser ne concerne que les gains de ces biens après qu’une année (du calendrier lunaire) se soit écoulée après leur obtention, et que le capital n’était pas concerné. Il prétend aussi que s’il consacrait l’argent des loyers directement à l’achat d’un immeuble, avant qu’une année ne s’écoule, il n’aurait pas à verser de Zakât… D’autres personnes agissent de la même façon que mon frère : est-il permis de faire cela dans l’islam ? Celui qui le fait n’a-t-il pas de péché ?

 

Quels sont les genres de biens immobiliers qui ne sont pas concernés par la Zakât , ni sur leur valeur, ni sur leur usufruit, jusqu’à ce qu’une année entière s’écoule ? Et y a-t-il une valeur minimale à partir de laquelle le bien immobilier devient concerné par la Zakât , ou alors cela est-il indépendant de la valeur ?

R : Les biens que peut posséder la personne se divisent en plusieurs catégories :